La MDPH de votre département peut vous accorder certaines allocations, ou augmentations d’allocation, afin de financer tout ou partie de la prise en charge en ergothérapie :
- AEEH, l’allocation éducation enfant handicapé
- PCH, la prestation de compensation du handicap
La PCO de votre secteur peut financer pour les professionnels conventionnés un bilan ainsi qu’un suivi d’une trentaine de séances si votre enfant a moins de 7 ans et présente une suspicion de trouble du neuro-développement, ou se trouve en début de parcours diagnostic (sans reconnaissance MDPH à ce jour). Parlez-en à votre médecin traitant.
L’ANAH propose des allocations pour l’amélioration de l’habitat, notamment dans le cadre d’aménagements de logement devenu inaccessible à la personne en situation de handicap.
L’APA peut être alloué aux personnes âgées de plus de 60 ans en manque d’autonomie et participer au financement d’actes d’ergothérapie.
Certaines mutuelles (dont Intégrance, MGEN, AG2R, Mutuelle de l’est, APICIL, MFCTR, Groupe Malakoff, MTRL, CARCEPT PREVOYANCE, AXA, ALMERYS, RSI, HARMONIE, MMA notamment) incluent dans leur contrat un forfait prenant en charge des séances d’ergothérapie, ou possèdent des fonds dans le cadre de leur service d’action sociale, sous condition d’acceptation du dossier de demande de financement en commission. Renseignez-vous auprès de votre mutuelle.
Dans le cadre de leur service d’action sociale, certains organismes peuvent vous aider à financer des séances d’ergothérapie, tels que les comités d’entreprise, les caisses de retraite ou les assurances privées. Renseignez-vous autour de vous.
Les actes d’ergothérapie n’étant pas remboursés par la Sécurité Sociale, une autorisation de financement dans le cadre d’action sociale ou de prestations extralégales peut être accordée, sous conditions de la gravité du handicap, de revenus et d’acceptation du dossier de demande de financement en commission.